Le samedi 8 mars, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, le site EDF de Cruas-Meysse a eu le plaisir d'accueillir une vingtaine de visiteurs de tous horizons.
Ils ont pu découvrir la salle des machines et le simulateur, et surtout, rencontrer des femmes inspirantes travaillant à la centrale. Ces échanges ont permis de mettre en lumière leurs parcours et leurs métiers.
Une cheffe d’exploitation de conduite, Marjolaine Astier, a témoigné pour expliquer « qu’on pouvait être femme et travailler dans une centrale nucléaire » Marjolaine précise : « C’est possible, même en faisant les 3x8, à condition de s’organiser. Ce qui compte à EDF, c’est la qualification. Être un homme ou une femme, cela ne change rien, y compris au niveau de la rémunération. »
Le site encourage les candidatures et notamment celles des femmes qui représentent que 18 % des 1 383 personnes qui travaillent sur place.
Comme le souligne la directrice des ressources humaines du site, Stéphany Bechdolff : « Les études techniques sont ouvertes à toutes et à tous. Et dans certains métiers, être une femme peut être un véritable avantage. À la centrale EDF de Cruas-Meysse, nous croyons fermement que chaque talent compte et que la diversité est une force. Nous encourageons et soutenons les femmes dans le secteur technique. »
La Journée internationale des droits des femmes n'est qu'un exemple parmi d'autres de l’engagement de la centrale EDF de Cruas-Meysse en faveur de la diversité et de l'inclusion.
La centrale de Cruas-Meysse multiplie les actions dans ce sens pour contribuer à l’ambition du groupe EDF de compter 33 % de femmes dans ses effectifs en 2026, contre 26 % fin 2024.