Le 31 octobre 2024, l’unité de production n°1 est en fonctionnement. Un essai périodique est réalisé par les équipes du site sur un des circuits de sauvegarde, annexe au circuit primaire, destiné à l’évacuation de la chaleur dans le but de refroidir le combustible. Dans ce circuit se trouve un puisard étanche qui permet de retenir et faire transiter des fluides.
Lors de l’essai périodique, il est constaté qu’un des capteurs chargés de contrôler le niveau minimal dans ce puisard est défaillant. Un appoint est alors réalisé pour retrouver ce niveau minimal requis par nos règles générales d’exploitation (RGE).
Après analyse a posteriori, il s’avère que l’anomalie était déjà présente le 29 août 2024. Cet événement a confirmé l’indisponibilité partielle du circuit de sauvegarde pendant plus de 2 mois, ce qui constitue un écart, sans conséquence réelle sur la sûreté des installations, mais déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire le 7 novembre au niveau 1 de l’échelle INES, graduée de 1 à 7.