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Le 10 avril, l’arrêt du réacteur de Flamanville 3 a été prolongé pour procéder à des opérations de maintenance sur des matériels requis pour la poursuite des opérations de montée en puissance du réacteur en toute sûreté. Les matériels concernés sont situés dans la partie nucléaire des installations. 

Le premier démarrage d'un réacteur est un processus long, s'étendant sur plusieurs mois. Les équipements sont mis en service pour la première fois en configuration complète. Cette phase d'essais et de contrôles permet de valider les procédures d'exploitation et de détecter tous les réglages et interventions nécessaires pour que le réacteur puisse réaliser son premier cycle de production en toute sûreté et fiabilité. Ces ajustements peuvent entraîner des modifications du planning de recouplage de l'EPR de Flamanville 3.

Dans les semaines et mois à venir, des arrêts du réacteur, des redémarrages et des reconnexions au réseau seront répétés à plusieurs reprises. Ces actions sont normales dans le cadre d'un premier démarrage.


Le 30 mars, l’arrêt du réacteur de Flamanville 3 a été prolongé pour procéder à une opération de maintenance supplémentaire sur un matériel situé sur la partie nucléaire des installations.


Le 28 février 2025, l’arrêt du réacteur de Flamanville 3 a été prolongé pour procéder à des réglages du groupe turbo alternateur afin d'optimiser son fonctionnement. 

En parallèle de ces activités, le site réalise également une opération de maintenance sur une sonde de température du circuit primaire.


Le 22 février, l'arrêt a été prolongé pour intervenir sur une sonde de température située sur le circuit primaire principal.
L’Autorité de Sûreté Nucléaire et de Radioprotection a été informée.


A 00h30, le 15 février 2025, le site de Flamanville 3 a arrêté sa production après détection d’une baisse des performances du circuit EVU/SRU. Ce circuit fait partie des circuits de refroidissement par eau de mer, conçus pour être utilisés uniquement en cas de situations exceptionnelles d’accidents graves.  

Les essais programmés réalisés sur ce système ont montré des résultats inférieurs à l’attendu. Les équipes ont démarré dès ce matin la mise en place de la logistique requise pour réaliser un nettoyage des échangeurs, et instruisent les éléments techniques nécessaires pour la visite du matériel. 

L’Autorité de Sûreté Nucléaire et de Radioprotection a été informée.